- AIRLINE 150
2 voies, rendement 88dB, boomer 16cm + tweeter Diamètre 19cm, hauteur 92cm, base 23x23cm spectre 35Hz - 25kHz / 5dB tous modèles: finition tissu
- AIRLINE 150 Reference
+ câblage interne Lavardin Technologies Model CX
- AIRLINE 200
2 voies, rendement 89dB, boomer 20cm + tweeter Diamètre 23cm, hauteur 102cm, base 25x26cm spectre 27Hz - 25kHz / 5dB tous modèles: finition tissu
- AIRLINE 200 Reference
+ câblage interne Lavardin Technologies Model CX
- AIRLINE 400
2 voies, rendement 89dB, boomer 20cm + tweeter Diamètre 23cm, hauteur 102cm, base 25x26cm spectre 27Hz - 25kHz / 5dB câblage interne Lavardin Technologies Model CX finition tissu + coffret mixte fibre/acier
- AIRLINE 400 Signature
+ finition laquée 1000 coloris
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"C'est en rencontrant les AIRLINES que l'on comprend qu'il s'agit d'une invention exceptionnelle. Le design pur et chic magnifie la prouesse technologique et l'émotion de la musique. Oubliez les enceintes traditionnelles.Les AIRLINES trouveront naturellement leur place dans votre vie."
Choisissez votre AIRLINE et sa couleur blanc, perle, ardoise, noir, bleu Klein, lie de vin
     
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"Les innovations de rupture nécessitent de prendre conscience de toutes les idées dominantes, de se rendre compte que l'on est focalisé sur une voix unique afin de pouvoir mettre de côté toutes ces fixations et de pouvoir aller explorer ailleurs, "out of the box"... Un certain nombre de créateurs ne se rendent même pas compte qu'ils proposent tous les mêmes idées ou solutions, et qu'ils sont enfermés dans un comportement intuitif lié à des idées reçues ou des stéréotypes... " Mathieu Cassotti Chercheur en psychologie cognitive |



"Peu de gens ont des idées, et ceux qui en ont n'ont pas forcément les bonnes." Louis Pouzin créateur de l'Internet |


 | Concepts et Technologies Forme et architecture Revendications techniques
ON VA TOUT VOUS EXPLIQUER
Un cylindre d'esprit BAUHAUS
La forme des AIRLINES est la première chose que l'on remarque et découle de sa fonction dans l'esprit Forms Follows Function. Les coffrets rectangulaires sont les pires boitiers où placer un haut parleur. Les faces vibrent en "peau de tambour" et les assemblages créent des points de réflexion pour les vibrations qui ne peuvent plus s'écouler librement. La rectitude et le parallélisme des surfaces créent des réflexions parasites internes et externes connues sous les noms d'effet de bord, de baffle step, d'ondes stationnaires. C'est un désastre pour la qualité d'écoute. En recherchant la forme idéale dépourvue de faces planes et sans assemblage la forme cylindrique est apparue parmi les plus intéressantes.
Le boomer-médium non bafflé
Quand nous avons théorisé puis modélisé l'émission verticale du haut-parleur principal, le cylindre s'est naturellement imposé. Dans cette disposition co-axiale, l'émission du haut-parleur n'est perturbée par aucune surface réfléchissante, ni plane ni courbe. L'effet du baffle qui détruit la dispersion homogène des sons, la création de la scène sonore et l'équilibre des timbres est simplement devenu inexistant.
Un coffret rigide et inerte Made in France
Le haut-parleur qui produit les vibrations se trouve dans l'axe vertical avec le sol pour référence de son mouvement; la réaction du coffret est annulèe, il ne travaille plus qu'en compression. La direction des vibrations est celle de la plus grande longueur du coffret permettant un trajet et un amortissement maximum, sans modes de rupture dans le matériau pour maximiser la propagation et la dispersion des vibrations sur toute la hauteur. La paroi courbe de 19mm, rigide comme un panneau de 30mm, est composée de fibres continues de pin et de sapin dont la résonnance intrinsèque est non mesurable. C'est une fabrication française, conforme à notre Responsabilité Sociale et Environnementale.
L'absence de "son de boite"
Si les vibrations devaient être réfléchies à la base de l'enceinte pour remonter parasiter le haut-parleur, le signal aurait parcouru 180cm tout en s'affaiblissant progressivement. Dans une enceinte classique, qui ne fait jamais 180cm de profondeur, l'énergie, émise horizontalement dans un coffret vertical, ne parcourt que la circonférence de l'enceinte dans une ronde sans fin venant perturber l'émission, sous la forme d'intermodulations, de flou et de résonnances contribuant à ce que l'on appelle "le son de boite". Par conception les AIRLINES en sont exemptes à tous les niveaux d'écoute.
Le système émissif
Des mesures classiques insuffisantes
Avec les enceintes classiques l'auditeur fait face aux haut-parleurs. Elles sont donc conçues, étudiées, mesurées, analysées et controlées en plaçant un microphone par convention à 1 mètre dans l'axe du tweeter. Les mesures décrivent leur comportement certes avec précision mais dans un espace gros comme celui d'une balle de tennis à 1 mètre devant elles en oubliant que partout ailleurs, plus bas, plus haut, à droite ou à gauche et plus loin la réponse de l'enceinte présente toujours des accidents sur des plages entières du spectre audible. Deux enceintes avec des courbes strictement identiques peuvent sonner tout à fait différemment, l'une aigue et l'autre sombre, l'une molle et l'autre agressive.
Les mesures réalisées en ces autres points, où l'on constate avec une impuissance désespérée que l'on peut déplacer les traumatismes dans la bande audio mais jamais les supprimer, sont vécues par tous les concepteurs d'enceintes comme une implacable et frustrante fatalité. Le mieux finalement reste de ne pas en parler pour ne pas effrayer les clients.
"Le modèle classique ne suffit pas".
Des haut-parleurs imparfaits ou mal utilisés ?
Les haut-parleurs à cône sont les plus fiables, les plus durables mais ils ne sont pas parfaits. Ils sont toujours mesurés à une puissance fixe et le point le plus négligé de leur conception est la façon dont leur émission évolue avec la puissance sonore. Des distorsions mécaniques non linéaires apparaissent avec l'augmentation du niveau, au rythme des limites mécaniques qu'atteignent leurs éléments et matériaux constitutifs ainsi que leur assemblage. Ces déformations mécaniques viennent s'ajouter au signal électrique fourni par l'amplificateur et rien ne peut ni les éviter ni les effacer. Elles constituent la majorité des distorsions mesurées de l'enceinte. Ces haut-parleurs offrent tous leur plus grande instabilité en fonction du niveau sonore dans un cône de diffusion frontal de + et - 20 degrés. C'est là que les distorsions harmoniques mécaniques sont émises. Les premiers modes de torsion et de flexion du cône apparaissent dès 40Hz et il en existe quatre-vingt. La forme, les matériaux du cône et son traitement peuvent contribuer à réduire quelques uns des modes de flexion mais ne peuvent pas en faire disparaitre quatre-vingt! Le message sonore devient alors brouillon, flou et agressif avec le niveau sonore. Ce sont ces défauts qui empêchent au cerveau d'oublier la présence des enceintes acoustiques; il les identifie à leur signature et vous le fait savoir inconsciemment, sans avoir à réfléchir davantage.
"Il nous a fallu beaucoup oublier de la théorie pour progresser".
Nouvelles questions, nouvelles solutions
De ce constat est né notre premier prototype répondant simplement à cette question nouvelle : Pourquoi ne pas utiliser les haut-parleurs à cône dans le domaine où ils sont le plus stable en fréquences et le moins pollué par leurs propres distorsions mécaniques? On peut aussi reformuler la proposition de la façon suivante : Pourquoi continuer à privilégier l'émission frontale des hauts parleurs alors qu'elle est la plus instable en fréquences et la plus chargée en distorsions mécaniques et pourquoi donc projeter tous ces défauts à la face de l'auditeur?
"Ils ne savaient pas que c'était impossible, alors ils l'ont fait. (Mark Twain) ".
Le boomer-médium à émission verticale
Alors, nous avons placé le boomer à plat au sommet du coffret. Dans cette configuration, l'énergie instable, non linéaire et la plus polluée est émise verticalement et jamais en direction de l'auditeur. Il en résulte une réduction saisissante de la perception des artéfacts, des distorsions et des défauts consécutifs à la fragmentation de la membrane. Le signal est libéré comme jamais des distorsions et des duretés et ce quel que soit le niveau sonore, très faible comme extrêmement élevé. A l'écoute on comprend que ce sont ces distorsions mécaniques non linéaires qui sont à l'origine de la fatigue auditive et de l'effet de "son projeté" reconnaissable des enceintes classiques.
La position horizontale du haut-parleur principal a aussi d'autres conséquences décisives :
1) La réponse est constante en tout point d'écoute
quelle que soit la position de l'auditeur dans la pièce. Elle reste identique, dépourvue des accidents qui détimbrent les enceintes classiques qui émettent dans un cône devant elles comme le pinceau lumineux des phares d'une voiture.
2) Il n'y a plus de baffle autour du haut-parleur,
et la linéarité de sa réponse n'est donc jamais affectée par aucune réflexion sur une face avant. La justesse des timbres est constante.En fait, le haut-parleur se trouve entouré d'un baffle annulaire de 1cm qui n'a pas d'effet aux fréquences émises.
3) Les vibrations sont annulées par l'assise perpendiculaire au sol
Il n'existe pas meilleure assise que le sol pour un mouvement vertical ; plus aucune réaction du coffret n'est possible. Les textures sonores sont alors reproduites avec une vitalité naturelle et singulière. Les micro-informations, absorbées et perdues dans les coffrets en MDF (déchets de bois comprimés), sont alors révélées avec la simple beauté de leur infinie complexité.
4) La disparition de l'effet Doppler
Dans toutes les enceintes acoustiques le déplacement des membranes pour les fréquences graves accélère et ralentit les petits déplacements des fréquences médium. C'est l'effet Doppler. Il s'apparente à une intermodulation "dans l'air" pour les enceintes à 3 ou 4 voies et "dans la membrane" pour les enceintes 1 ou 2 voies. Il est audible à partir de déplacements de membranes de 1mm ! Cette obscure mais grave distorsion, rarement documentée par les ingénieurs acousticiens "parce qu'on ne peut rien y faire " crée pourtant un effet de malaise audible très désagréable, jusqu'à donner un timbre de robot à une voix naturelle. L'effet Doppler n'est pas mesurable comme la distorsion harmonique alors que son impact est beaucoup plus audible. Dans le cas des AIRLINES, l'émission verticale le fait pratiquement disparaitre. L'accélération et le ralentissement sont remplacés par un petit mouvement vertical indécelable.
5) Les distorsions harmoniques réduites
La majorité des distorsions mesurées d'une enceinte sont provoquées par les déformations non souhaitées et non controlables du cône. Ce sont des harmoniques dont la fréquence est un multiple de la vibration d'origine et leur dispersion est toujours plus pincée et axiale que la fondamentale. Avec les AIRLINES, ces fréquences sont émises et dispersées verticalement, là où personne ne se tient pour les entendre, au lieu d'être projetées vers l'auditeur. Les mesures faites aux points d'écoute usuels confirment des taux de distorsion réduits de 10dB. C'est une avancée sensible dans l'histoire des enceintes acoustiques.
6) Un filtre plus transparent
Comme les fréquences les plus élevées du boomer sont émises verticalement leur contribution au spectre émis pour l'auditeur est infime et leur filtrage peut être ré-envisagé. Le haut-parleur principal est connecté directement à l'amplificateur par un seul composant.
7) Les axes grave / aigu orthogonaux annulent toute intermodulation
Les aigus sont reproduits par le second haut-parleur, le tweeter . Afin de conserver la plus grande finesse de reproduction, son axe d'émission est classique, presque horizontal. Les deux haut-parleurs ayant leurs axes d'émission orthogonaux, il en découle que le boomer, le plus perturbateur, agissant verticalement ne vient jamais perturber le plus sensible, le tweeter, sur son axe horizontal.
Ce point est frappant quand on mesure l'échelle des phénomènes mis en jeu dans un tweeter. Si à la puissance maximum, sa membrane se déplace de moins d'un dixième de millimètre, la majorité de son travail réside dans des déplacements de l'ordre du millième (pour 60dB de dynamique) et du dix-millième (pour 80dB de dynamique) soit le 1/100 eme de micron! Pour garantir une dynamique convenable il faut donc s'assurer de la stabilité du tweeter sur son axe à cette échelle.
A cause des mouvements des haut-parleurs de grave-médium dans le même axe et à proximité, cette condition est difficile à satisfaire dans des enceintes classiques. L'orthogonalité des axes d'émission garantit, si elle est bien mise en oeuvre, la stabilité du moteur du tweeter pour une restitution dynamique, fluide et d'une subtilité rarement recontrée.
Un tweeter infracardioide non bafflé
C'est la face avant, plane ou courbe, de l'enceinte où est fixé le tweeter qui provoque les accidents les plus dramatiques dans sa réponse, et même avant cela, et de façon déjà alarmante, simplement la plaque frontale qui permet de le fixer. Le tweeter AIRLINE est dépourvu de plaque de fixation et il n'est fixé sur aucune paroi. Comme une demi-sphère pulsante, la membrane est maintenue sur 1mm en périphérie. Le corps et le moteur magnétique sont plus petits que la membrane offrant une émission libre de toute interférence. La surface de baffle se limite à un anneau sans aucun effet de 1mm. C'est, semble t il un record mondial, et le rayonnement devient extraordinairement large. Bien sûr, un tel résultat est en dehors de l'imaginable avec un tweeter soit entouré d'une plaque de fixation, soit monté dans un coffret, soit prolongé d'un pavillon, soit avec un tweeter à ruban dont la membrane est, par conception, confinée au fond d'une cavité entre deux gros aimants. Bien sûr, pour la fiabilité nous avons banni tout ferrofluide.
Une réponse en fréquence ultra-linéaire
Le travail sur la linéarité de la courbe de réponse des AIRLINES a été facilité par l'absence de baffle et de paroi réfléchissante. Elles affichent une réponse en fréquence d'une rectitude digne des moniteurs professionnels les plus reconnus. Hélas ceux ci ne permettent ni de s'en éloigner ni de s'écarter de plus de 15 degrés de leur axe d'émission sous peine de détimbrer sérieusement leur restitution.
Une source quasi ponctuelle pour une mise en phase constante
La confusion fictive des deux hauts-parleurs maintient une phase et donc un spectre cohérent dans tout l'espace d'écoute. La réponse en puissance acoustique coincide alors avec la réponse en pression en tout axe sans rupture de l'indice de directivité. A tous les points de mesure, du sol au plafond et sur 120 degrés latéralement, les accidents de la réponse résultants d'annulations entre hauts-parleurs ou de réflexions du coffret sont contenus dans un couloir de plus ou moins 1dB.
Autant le dire, cette performance de diffusion spatiale et spectrale est rare voir unique dans l'histoire des enceintes acoustiques. Elle est le graal, avoué ou non avoué tant cela semble inaccessible, de tout concepteur d'enceintes.
FINI ! le fauteuil entre les enceintes
L'image sonore devient naturellement holographique sur une large plage angulaire créant un effet stéréo cohérent pour tous alors même que les auditeurs peuvent se trouver en dehors de l'espace entre les enceintes, comme au concert. Il n'y a plus "UN" point d'écoute privilégié placé sur la ligne à équidistance des enceintes comme l'imposent tous les systèmes stéréophoniques et multi-canaux passés et existants.
L'utopie de la focalisation d'un son théoriquement idéal en un seul point semble tout à coup totalement obsolète et bien peu ambitieuse.
On retrouve alors la diffusion naturelle des instruments au sein de l'orchestre, tel un objet sonore virtuel en trois dimensions devant lequel on peut se déplacer sans perdre ni la perception de son organisation spatiale précise et complexe ni la moitié de ses musiciens !
Se promener les yeux fermés devant les AIRLINES devient une expérience sensorielle saisissante. On peut enfin percevoir les musiciens en 3D. Debout, assis, loin ou plus près et en dehors de l'espace entre les enceintes, c'est le même spectre sonore qui est perçu par l'auditeur. La linéarité exceptionnelle de la réponse des AIRLINES fait que les timbres sont respectés avec un naturel qui remet en question le concept même de respect des timbres.
AIRLINE réduit l'influence de l'acoustique du local
Le rayonnement ultra large charge tous les murs d'un spectre sonore identique avec une quantité d'énergie uniforme réduite de 60% par rapport aux enceintes directives classiques. Les sons parasites réfléchis par les murs sont réduits d'autant et ne brouillent plus le son directement émit par les enceintes. L'espace du champ direct augmente et la surface du champ réfléchi diminue. La distance critique, qui voit l'égalité champ direct / champ réfléchi, est augmentée et l'effet de masque provoqué par l'énergie réfléchie est réduit. L'émergence des micros informations est alors favorisée. Les textures sonores prennent une forme savoureuse et les transitoires une précision insoupçonnée même à grande distance des enceintes. C'est comme cela que AIRLINE arrivent aussi à bâtir une scène sonore holographique pour tous les auditeurs d'une même pièce.
AIRLINE repousse les limites acoustiques de la pièce d'écoute
Avec cette diffusion uniforme hémisphérique, les défauts de la pièce d'écoute ne sont plus exacerbés par les surpressions dues à la directivité des enceintes classiques. A très fort niveau, on est étonné de retrouver les mêmes sonorités, le même équilibre et la même limpidité de la musique qu'à très faible niveau : l'effet de saturation acoustique du lieu est repoussé. Et comme la sonorité propre de la pièce revet une moindre importance, son traitement acoustique, trop souvent préjudiciable à la vitalité de l'écoute, peut être réduit. On peut aussi extrapoler que les AIRLINES donneront de meilleurs résultats que des enceintes classiques dans un local acoustiquement difficile, ce que nous constatons régulièrement.
A partir de 10 watts ...
Les AIRLINES n'ont pas l'excuse d'être difficiles à alimenter. Un amplificateur de 10 watts permet déjà un niveau sonore réaliste. En revanche, seuls les meilleurs amplificateurs et une mise en oeuvre rigoureuse de toute la chaine depuis la source permettront de révéler le véritable potentiel émotionnel dont elles sont capables. En retour, les AIRLINES feront découvrir tout ce qu'un système d'exception peut prétendre offrir et que les autres enceintes retiendront et cacheront toujours.
Un évent Bass Reflex silencieux
C'est dans la base que débouche l'évent de l'enceinte. Un évent met en communication l'intérieur de l'enceinte avec la zone d'écoute. Pointer l'évent dans la direction de l'auditeur aurait été une désastreuse faute conceptuelle ajoutant au signal musical le bruit contenu dans l'enceinte. Nous avons mesuré des notes medium sortant d'évents "prestigieux" seulement 12dB sous le signal émit par le haut parleur ! Pour nous, un évent à l'avant comme à arrière est simplement intolérable. A l'écoute comme aux mesures, les évents laminaires sont toujours les plus nuisibles. Nous avons développé un évent quasi-cylindrique. Disposé face au sol, il disperse à 360° les bruits d'air et le son contenu dans le coffret qui, divisés par 20, deviennent imperceptibles.
Un boomer hermétique et fiable
Le boomer est doté d'un cache noyau central. L'air sous pression contenu dans l'enceinte ne s'échappe plus autour de l'ogive centrale comme avec certains hauts-parleurs dits "haut de gamme" où l'air est propulsé comme dans une tuyère de réacteur. Une bonne oreille permet d'identifier ces bruits non linéaires alors que l'analyse spectrale ne peut pas les détecter. Pour les enceintes AIRLINES, il était impossible d'entacher la musique de ces bruits parasites permanents.
Les suspensions en mousse de polyuréthane sont poreuses et se décomposent en quelques années sous l'effet des UV de la lumière solaire et du chlore libéré par les revêtements de sol et les huisseries en PVC. Pour cette raison nous utilisons un caoutchouc synthétique spécial qui garantit un fonctionnement parfait du boomer pendant des décénies.
Un filtre comme posé au sol
Les vibrations et des champs magnétiques ont un impact désastreux sur les composants et les circuits analogiques et numériques. Le filtre de notre tweeter est placé dans la base, au plus près du sol et au plus loin des haut-parleurs. Comme posé au sol il ne perçoit aucune perturbation. Nous savons par expérience que les filtres complexes "aspirent" la vie de la musique. Le choix des composants est aussi très sensible. Bien sûr, nous n'utilisons ni circuit imprimé pour le filtre, ni cosse Faston (cosses de voitures) pour raccorder les hauts parleurs.
Une connexion invisible
Comme le bornier est placé dans la base sous l'enceinte, l'impact visuel du câble de liaison (qui peut être fin et discret) est réduit. Il n'y a donc jamais ni de câble qui pend derrière l'enceinte, ni les câbles secteur des enceintes "sans fil" qu'il faut brancher dans des prises de courant. Le style épuré des AIRLINES est naturellement magnifié.
Une stabilité parfaite
"Trois points définissent un plan". Pour une stabilité parfaite, les AIRLINES sont équipées de trois patins, deux devant et un derrière. Deux autres patins à l'arrière, à 5mm du sol, limitent l'angle de basculement de l'enceinte si elle venait à être bousculée. Ces patins de forme ronde garantissent un contact au sol tangent, donc théoriquement ponctuel, sans provoquer les dégats qu'infligeraient irrémédiablement des pointes à un parquet.
Ajustement fin des aigus
Les AIRLINE 200 et 400 ont un bouton de réglage du niveau de l'aigu pour adapter parfaitement l'enceinte au lieu d'écoute si l'acoustique est très amortie, si les AIRLINES sont plus en retrait qu'elles ne devraient ou proches voir même derrière des rideaux.
à suivre ... |